Résolument tournés vers l’avenir, nous croyons en une France fidèle à son héritage, ancrée dans la civilisation européenne et chrétienne, souveraine dans ses choix et libre dans son économie.
C’est un héritage vivant que nous ont légué nos ancêtres. Nous avons un « nous » et un « chez nous ». Il nous appartient de conserver et de transmettre cet héritage. C’est une responsabilité immense.
Face aux grands défis et dangers du XXIème siècle, la France ne redeviendra une puissance respectée qu’après avoir amorcé un réarmement démographique, identitaire, éducatif, culturel, militaire, économique, démocratique et sécuritaire, lui permettant de renouer avec sa fierté, son ambition et son essence.
L’avenir d’un peuple réside en tout premier lieu dans sa capacité à se perpétuer et à se renouveler.
L’immigration de remplacement ne peut être une solution à l’effondrement de la natalité française. Nous affirmons que l’avenir de la France et de l’Europe doit passer par les berceaux de nos enfants et non pas par les bateaux de migrants.
Pour une France vivante et une société durable, nous faisons de la natalité et de la famille une priorité sociale.
Attachés au foyer qui réunit, qui est le premier lieu de sociabilisation et de transmission, nous défendons une politique de l’habitat ambitieuse, en particulier pour les jeunes familles, et la priorité nationale dans l’accès au logement social et aux aides sociales.
La France n’est pas une simple « idée » fondée sur des valeurs abstraites. Elle est avant tout l’héritière de mille ans d’histoire, de culture, de traditions.
Nous refusons la submersion migratoire et l’islamisation de notre pays. Nous affirmons la nécessité de stopper l’immigration de masse, d’expulser des clandestins ainsi que les étrangers islamistes ou délinquants et d’assurer le retour au pays des chômeurs de longue durée étrangers. Nous souhaitons mettre en œuvre une réforme constitutionnelle pour retrouver la liberté de défendre notre identité en maîtrisant efficacement l’immigration.
Nous nous opposons à tous les « accommodements raisonnables » qui transforment chaque jour notre pays en société charia-compatible, depuis notre alimentation jusqu’au port du voile. Nous sommes en première ligne face aux organisations islamistes et réclamons leur interdiction sur notre territoire, à commencer par les Frères musulmans.
Nous défendons la reconnaissance, jusque dans notre Constitution et les traités, des racines chrétiennes de la France et de l’Europe.
Nous voulons une France fière et respectée et refusons la repentance et la culpabilisation de notre peuple.
Nous voulons une école libre de toute idéologie et libre de son organisation.
Face à l’effondrement du niveau scolaire, nous voulons restaurer l’excellence à partir des principes d’autorité, de mérite, de sélection et de transmission.
Nous défendons la liberté scolaire et le développement d’un enseignement privé varié, accessible à tous, en parallèle du redressement de l’école publique.
Nous combattons la subversion de l’université et en particulier des sciences humaines par le wokisme. Nous nous dressons face aux ravages des idéologies de la déconstruction – à commencer par la théorie du genre – sur notre jeunesse.
Fidèles aux enseignements antiques de notre civilisation, attachés à l’élévation des cœurs et des esprits, nous entendons réhabiliter la recherche du Vrai, du Bien et du Beau.
Conscients de la fragilité des choses humaines et de la nature, nous sommes soucieux de la préservation des saines limites et des équilibres.
Attachés à la dignité des personnes, nous considérons toute forme de marchandisation de l’humain comme intolérable.
Face aux bouleversements environnementaux, nous croyons à l’innovation et à l’adaptation plutôt qu’à l’interdiction. Nous affirmons que l’homme est la solution et non le problème.
Dans un monde de plus en plus incertain, toute volonté de garantir son indépendance est liée à une nécessité de puissance, y compris sur le plan militaire.
Nous affirmons la place centrale de la France – puissance nucléaire, première armée et première industrie de défense – en Europe. Nous entendons non seulement préserver mais renforcer ces atouts.
Nous refusons fermement toute amputation de la souveraineté nationale en matière de défense et de diplomatie.
La France doit remettre le mérite et l’effort au cœur du projet national en privilégiant la production sur la redistribution et le travail sur la rente et l’assistanat.
Il faut mettre un terme à la multiplication des normes qui écrasent chaque jour davantage entreprises, artisans et agriculteurs. Il faut rompre avec le socialisme mental et la fiscalité confiscatoire. L’augmentation du pouvoir d’achat doit d’abord passer par la baisse des charges sur les salaires. Celui qui travaille dur doit récolter les justes fruits de son labeur.
Il est urgent de réduire la dette publique par une diminution du coût du train de vie de l’État et la redéfinition du périmètre de son action, mais aussi par la réduction des dépenses sociales en combattant l’assistanat, en réformant le statut de la fonction publique, et en ouvrant notre système de retraite à la capitalisation.
Il est vain de parler de réindustrialisation ou du pouvoir d’achat des Français sans envisager de réformer notre politique de l’énergie. Nous défendons une autonomie énergétique maximale, libérée des lubies des extrémistes verts, appuyée sur le développement du nucléaire français et des énergies renouvelables non intermittentes.
Nous croyons à une coopération européenne fondée sur la souveraineté de nations libres, héritières d’une civilisation commune. Nous nous opposons au centralisme bruxellois et à la dérive autocratique de la Commission.
Soucieux d’une démocratie réelle, nous réclamons une plus juste représentativité électorale, à travers une réforme des modes de scrutin, et le recours régulier au référendum au plan local comme national tout comme l’élargissement du référendum d’initiative citoyenne.
Plus les décisions sont prises près des citoyens, plus elles suscitent adhésion et confiance. Nous sommes persuadés que « la politique est l’art de gouverner des hommes libres » et que la juste administration de la Cité réside dans le principe de subsidiarité, respectueux des communautés politiques naturelles.
Fidèles à la conception classique de la démocratie comme de l’Etat de droit, nous dénonçons la tentation de certains juges et des hautes juridictions (Conseil constitutionnel, Conseil d’État) de se substituer au peuple souverain.
Il ne peut pas y avoir de démocratie sans débat libre, c’est pourquoi nous affirmons notre attachement à la liberté d’expression et plus largement aux libertés publiques.
Les Français découvrent chaque jour un drame supplémentaire et le prénom d’une nouvelle victime.
Pour retrouver la sécurité et la paix dans nos rues, nous devons renouer avec l’autorité de l’Etat, en finir avec le laxisme judiciaire et réformer la magistrature, donner aux forces de l’ordre les moyens de leur mission et leur assurer le soutien de la nation.
En plus d’instaurer l’expulsion automatique des délinquants et criminels étrangers, il faut nouer des partenariats pour que ces derniers effectuent leurs peines de prison dans leurs pays d’origine.
Nous prônons une lutte impitoyable contre les narco-trafiquants, en s’inspirant des lois anti-mafia italiennes, et refusons toute forme de banalisation de l’usage des drogues.
Dans l’ensauvagement que connaît notre pays, la jeunesse de France paie un très lourd tribut. Nous nous battons pour la reconnaissance de la réalité et de la gravité du racisme antiblanc au même titre que les autres discriminations.